Femmes d’Iran : Ghazal, tatoueuse illégale
Illégal et réprimé, le tatouage est un espace d’expression très à la mode chez les Iranien.ne.s
Brice Andlauer est parti en Iran pour rencontrer trois femmes iraniennes, accompagné par Colin Henry, pour capturer en sons et en images leurs vies extraordinaires. Au plus près de leurs réalités, ils ont rencontré des femmes bien loin des clichés habituels pour dresser trois portraits derrière le voile.
Pour le deuxième épisode, nous partons à la rencontre de Ghazal, tatoueuse illégale. Illégal en Iran, le tatouage est pourtant un art en pleine expansion dans le pays, vu comme un moyen d'expression nouveau. Ghazal tient un des salons de tatouage les plus en vogue de Téhéran, caché dans son appartement.
Ghazal est joyeuse, paradoxale surprenante et ne rentre dans aucune case. Grande, blonde platine, transformée par la chirurgie esthétique et très maquillée. A elle seule, elle démontre qu'il y a autant de façon d'être une femme en Iran qu'il y a d'Iraniennes. Nous la rencontrons dans le nord de Téhéran, dans une bulle de liberté où les règles islamiques ont l'air plus clémentes dans le reste du pays.
Ghazal est tatoueuse depuis quinze ans de façon complètement illégale. Elle n'utilise donc pas son nom de famille mais son pseudo Instagram : Ghazal_kamaliart
Pour écouter la suite de la série Femmes d'Iran :
Mix: David Federmann
Photos Colin Henry
Femmes d’Iran : Ghazal, tatoueuse illégale
Illégal et réprimé, le tatouage est un espace d’expression très à la mode chez les Iranien.ne.s
Brice Andlauer est parti en Iran pour rencontrer trois femmes iraniennes, accompagné par Colin Henry, pour capturer en sons et en images leurs vies extraordinaires. Au plus près de leurs réalités, ils ont rencontré des femmes bien loin des clichés habituels pour dresser trois portraits derrière le voile.
Pour le deuxième épisode, nous partons à la rencontre de Ghazal, tatoueuse illégale. Illégal en Iran, le tatouage est pourtant un art en pleine expansion dans le pays, vu comme un moyen d'expression nouveau. Ghazal tient un des salons de tatouage les plus en vogue de Téhéran, caché dans son appartement.
Ghazal est joyeuse, paradoxale surprenante et ne rentre dans aucune case. Grande, blonde platine, transformée par la chirurgie esthétique et très maquillée. A elle seule, elle démontre qu'il y a autant de façon d'être une femme en Iran qu'il y a d'Iraniennes. Nous la rencontrons dans le nord de Téhéran, dans une bulle de liberté où les règles islamiques ont l'air plus clémentes dans le reste du pays.
Ghazal est tatoueuse depuis quinze ans de façon complètement illégale. Elle n'utilise donc pas son nom de famille mais son pseudo Instagram : Ghazal_kamaliart
Pour écouter la suite de la série Femmes d'Iran :
Mix: David Federmann
Photos Colin Henry