Femmes d’Iran derrière le voile : Myriam, le choix de l’exil
Malgré l’attachement à son pays, la jeune femme de 30 ans a choisi de partir vivre en Australie.
Brice Andlauer est parti en Iran pour rencontrer trois femmes iraniennes, accompagné par Colin Henry, pour capturer en sons et en images leurs vies extraordinaires. Au plus près de leurs réalités, ils ont rencontré des femmes bien loin des clichés habituels pour dresser trois portraits derrière le voile.
Dans ce premier épisode, nous écoutons Myriam, qui a fait le choix de tracer sa route en silence en attendant l'exil. A 30 ans, Myriam fait partie des 3,4 millions d'étudiants que compte l'Iran. Mais 10% d'entre eux choisissent de partir finir leurs études à l'étranger.
Elle vit seule à Chiraz, dans un appartement prêté par sa famille, dans une chambre à peine décorée. On peut y apercevoir seulement quelques livres de science et d'histoire. C'est là que Myriam se raconte, sans jamais arrêter de sourire. Elle parle de son envie de partir en Australie.
Myriam travaille pour financer ses études. Elle parle de ses inquiétudes, de la situation économique de l'Iran, de l'envie de trouver un emploi stable. Entre rêves et ambitions, elle n'oublie pourtant jamais l'amour de son pays.
Pour écouter la suite de la série Femmes d'Iran :
Mix: David Federmann
Photos Colin Henry
Femmes d’Iran derrière le voile : Myriam, le choix de l’exil
Malgré l’attachement à son pays, la jeune femme de 30 ans a choisi de partir vivre en Australie.
Brice Andlauer est parti en Iran pour rencontrer trois femmes iraniennes, accompagné par Colin Henry, pour capturer en sons et en images leurs vies extraordinaires. Au plus près de leurs réalités, ils ont rencontré des femmes bien loin des clichés habituels pour dresser trois portraits derrière le voile.
Dans ce premier épisode, nous écoutons Myriam, qui a fait le choix de tracer sa route en silence en attendant l'exil. A 30 ans, Myriam fait partie des 3,4 millions d'étudiants que compte l'Iran. Mais 10% d'entre eux choisissent de partir finir leurs études à l'étranger.
Elle vit seule à Chiraz, dans un appartement prêté par sa famille, dans une chambre à peine décorée. On peut y apercevoir seulement quelques livres de science et d'histoire. C'est là que Myriam se raconte, sans jamais arrêter de sourire. Elle parle de son envie de partir en Australie.
Myriam travaille pour financer ses études. Elle parle de ses inquiétudes, de la situation économique de l'Iran, de l'envie de trouver un emploi stable. Entre rêves et ambitions, elle n'oublie pourtant jamais l'amour de son pays.
Pour écouter la suite de la série Femmes d'Iran :
Mix: David Federmann
Photos Colin Henry