Jeunes sarkozystes à l’épreuve du #FillonGate
Leur idole éliminée, Marie-Agnès, Sacha et Armand mouillent plus ou moins la chemise pour Fillon, le candidat LR. Au gré des affaires et des costumes.
Rien ne se passe jamais comme prévu. Les révélations autour de Pénélope Fillon ont déboussolé les jeunes militants Les Républicains pendant la campagne présidentielle. Entre discipline du parti, intérêt stratégique et conscience personnelle, comment naviguer dans les eaux (troubles) de la cuisine politique ?
A l’automne dernier, la primaire de la droite et du centre a sacré l’outsider François Fillon, et dégagé l’ex-chouchou Nicolas Sarkozy. Sacha, Armand et Marie-Agnès sont arrivés chez les Républicains en sarkozystes convaincus. Mais ils ont accepté les règles, et se sont décidés à soutenir l’ex-Premier ministre. Tractages sur le terrain, réunions publiques ou encore retweets et partages sur les réseaux sociaux, ils ont fait leur possible pour aider la droite à reconquérir le pouvoir. Jusqu’au séisme du « Penelope Gate », qui a rebattu les cartes.
S’interroger alors : continuer ? Garder son esprit critique ? Déserter le terrain ? Certains avouent franchement « un sentiment de gâchis » ; en vouloir directement à François Fillon pour ne « pas avoir été audible », mais dans un contexte national très tendu, le réalisme l’emporte souvent : « impossible de ne pas voter Fillon ».
Et comment ça se passe dans d'autres partis ? Voici le portrait de Valentin, vigneron insoumis qui a inventé une cuvée spéciale L'avenir en commun. A Planoise, du côté de Besançon, les jeunes sont plus indécis : voter ou s'abstenir ?
Jeunes sarkozystes à l’épreuve du #FillonGate
Leur idole éliminée, Marie-Agnès, Sacha et Armand mouillent plus ou moins la chemise pour Fillon, le candidat LR. Au gré des affaires et des costumes.
Rien ne se passe jamais comme prévu. Les révélations autour de Pénélope Fillon ont déboussolé les jeunes militants Les Républicains pendant la campagne présidentielle. Entre discipline du parti, intérêt stratégique et conscience personnelle, comment naviguer dans les eaux (troubles) de la cuisine politique ?
A l’automne dernier, la primaire de la droite et du centre a sacré l’outsider François Fillon, et dégagé l’ex-chouchou Nicolas Sarkozy. Sacha, Armand et Marie-Agnès sont arrivés chez les Républicains en sarkozystes convaincus. Mais ils ont accepté les règles, et se sont décidés à soutenir l’ex-Premier ministre. Tractages sur le terrain, réunions publiques ou encore retweets et partages sur les réseaux sociaux, ils ont fait leur possible pour aider la droite à reconquérir le pouvoir. Jusqu’au séisme du « Penelope Gate », qui a rebattu les cartes.
S’interroger alors : continuer ? Garder son esprit critique ? Déserter le terrain ? Certains avouent franchement « un sentiment de gâchis » ; en vouloir directement à François Fillon pour ne « pas avoir été audible », mais dans un contexte national très tendu, le réalisme l’emporte souvent : « impossible de ne pas voter Fillon ».
Et comment ça se passe dans d'autres partis ? Voici le portrait de Valentin, vigneron insoumis qui a inventé une cuvée spéciale L'avenir en commun. A Planoise, du côté de Besançon, les jeunes sont plus indécis : voter ou s'abstenir ?