Lettre d’amour au plastique
Révolution, société de consommation, pollution : le plastique, c’est pas si fantastique.
Cher plastique,
Tu es omniprésent dans ma vie, je ne passe pas une journée sans te regarder, t’enfiler, te toucher ou te respirer.
Lorsque tu naquis, tu étais une merveille crée par l’homme, tu es le produit d’une réaction chimique magique. Tu étais apparu, tu allais révolutionner le futur et changer nos vies, à l’échelle du système solaire et à l’échelle du quotidien. Tu ne choisis pas ce que tu deviens, des fois tu es une cuvette de chiotte, un téléphone, un slip, un sac en plastique, une prothèse mammaire, une bague de pigeon, ….
Tu nous emballes à longueur de journée, sans même qu’on s’en rende compte tu insinues ta langue dans tous nos espaces. Outre tes pouvoirs en matière de science, de médecine et de nouvelles technologies, on a compris que tu pouvais être un bon moyen de se faire du flouze. Tu étais tout bénef’, alors on t’a exploité jusqu’à la moelle de ton polymère et aujourd’hui tu es omniprésent.
Malgré toutes tes possibilités nous avons réussi à faire de toi un grand n’importe quoi. Alors que tu étais une prouesse scientifique, te voilà aujourd’hui devenu un nuisible. Tu te fais emporter par les vents de la société du cash crash CAC 40 et tu te répands sur terre.
Tu as plastifié mon cœur et la planète bleue.
Lettre d’amour au plastique
Révolution, société de consommation, pollution : le plastique, c’est pas si fantastique.
Cher plastique,
Tu es omniprésent dans ma vie, je ne passe pas une journée sans te regarder, t’enfiler, te toucher ou te respirer.
Lorsque tu naquis, tu étais une merveille crée par l’homme, tu es le produit d’une réaction chimique magique. Tu étais apparu, tu allais révolutionner le futur et changer nos vies, à l’échelle du système solaire et à l’échelle du quotidien. Tu ne choisis pas ce que tu deviens, des fois tu es une cuvette de chiotte, un téléphone, un slip, un sac en plastique, une prothèse mammaire, une bague de pigeon, ….
Tu nous emballes à longueur de journée, sans même qu’on s’en rende compte tu insinues ta langue dans tous nos espaces. Outre tes pouvoirs en matière de science, de médecine et de nouvelles technologies, on a compris que tu pouvais être un bon moyen de se faire du flouze. Tu étais tout bénef’, alors on t’a exploité jusqu’à la moelle de ton polymère et aujourd’hui tu es omniprésent.
Malgré toutes tes possibilités nous avons réussi à faire de toi un grand n’importe quoi. Alors que tu étais une prouesse scientifique, te voilà aujourd’hui devenu un nuisible. Tu te fais emporter par les vents de la société du cash crash CAC 40 et tu te répands sur terre.
Tu as plastifié mon cœur et la planète bleue.